Les Griffes Ardentes
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 [RP] En direct de Saint-Liziers

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AuteurMessage
Le Gaucher




Messages : 29
Date d'inscription : 26/10/2011

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MessageSujet: [RP] En direct de Saint-Liziers   [RP] En direct de Saint-Liziers Icon_minitimeVen 28 Oct - 4:18

Le_g. a écrit:
Le Gaucher avait bien vu un livre pour des quatrains, mais il avait bien plus long à dire. Sans un mot, il file mettre un parchemin sur un tronc d'arbre qu'il a pris soin de protéger des intempéries.

Il y pose son document, avant de retourner dormir dans sa roulotte. Les évènements se sont précipités. Trop de choses, il avait tenté d'être autre. Il aurait du rester lui-même, franc et direct, advienne que pourra. L'heure était passée, trop tard. Il n'avait qu'un seul regret, celui que sa belle ait pu en souffrir, alors qu'il était sur le point de se sacrifier pour la troupe.

Il était donc resté, ils avaient discuté, et sa douleur, il avait osé la lui montrer. Etre fragile sous ses dehors de rustre, le Gaucher retournait près de la Colombe, et sourire aux lèvres, la prend dans ses bras, pour lui déposer un baiser sur le front, la laissant dormir, et terminant lui aussi sa nuit près d'elle.

Citation :

Amour,

Mes doutes n'étaient pas contre toi.
Mes doutes m'ont jeté dans l'effroi.
Je t'aime et je suis parfois bien sot
ce qui crée souvent des imbroglios.

J'ai été proche, très proche de partir
cette semaine a failli m'anéantir.
Partir sans toi m'était abomination
Oiseau dont je suis en admiration

On dit qu'une maîtresse est une esclave
qui fait porter les chaînes à son maître
Je suis comme tout homme une épave
qui voit ses sentiments transparaître.

Je n'aurais pas fui seul dans la nuit
pas sans chercher près de toi appui
j'ai détesté voir certaine ascendance
utiliser par ton biais notre attirance

Certains vu mon caractère enflammé
T'aurais dit d'en profiter bon débarras
Pres de toi, je veux ma vie terminer
chaque matin voir ton petit nez

Je n'ai plus de doutes aujourd'hui
J'étais papillon par une carte ébloui
Mettant de côté mes envolées
Pour collaborer avec l'atout auréolé.

Je me suis perdu sur les chemins
Pas bien malin pour un baladin
pour passer pour un diplomate
mais j'en reste rouge écarlate

Ma colombe, mon aimée, ma dulcinée
Je suis pour tout ce qui est toi affamé
Ne deviens pas brebis pour cette histoire
Ce ne serait vraiment pas jubilatoire.

Reste celle que tu es mon Amour,
Je te le demande sans détour
Je reste, si tu le veux, ton troubadour,
avec toi, je pourrais retrouver mon humour.

Ton troubadour


Andrea_ a écrit:
La Colombe était perdue. ça faisait déjà un moment, noyée... Un coup dans l'aile... Elle, entière et passionée...

Elle avait longuement réfléchi, la veille au soir, tout avait été remis en cause. Tout : le groupe, leur couple, les amitiés.
Tout le ptit monde de la Colombe réduit à néant. Le temps de descendre à la cave chercher des bougies, elle remonte et c'est le chaos.

Elle s'était pas couchée tranquille et elle avait mal dormi la belle.

Au ptit matin, elle n'y voyait guerre plus clair. Levée au radar, elle tournait en rond, enroulée dans sa cape, elle n'avait même pas pris le temps de se préparer... ça c'est un signe, la colombe qui ne prend pas le temps de se faire jolie.. ça sentait le roussi.

Le visage visiblement tendu, et dans sa quête folle d'une solution miraculeuse pour avoir le beurre, l'argent du beurre, et l'cul de la laitière, elle était tombée nez a nez avec un poême, qui visiblement lui était destiné.

Elle avait lu, une fois, puis deux, puis trois... Elle avait mal. Mal parce qu'elle savait ce qu'il allait advenir en cette fin de journée. Mal parce qu'elle ne savait pas qu'une solution serait trouvée, mal parce que son gaucher... elle l'aime et qu'ils se fesaient du mal.


La Colombe passerait -encore- une sale journée.
Une journée a broyer du noir.
A batailler pour chercher un compromis.
A reprendre espoir quand le brun lui propose la solution qu'elle a déjà proposé la veille...

Impulsif. Il était impulsif. Foncer bille en tête pour réfléchir ensuite.
Est ce que cette fois il comprendrait ?


La belle, ce soir, va dormir seule. Alors, en attendant que la jolie lui ouvre la porte de sa roulotte, elle attend, assise devant le feu de camps, son esprit s'éloigne dans les abysses de ses pensées, son regard se perd dans les flammes, des larmes glissent sur ses joues, et ses mains jouent avec le poême arraché de l'arbre plus tôt dans la matinée...
Elle est là..interdite, murée dans son silence, enveloppée par la nuit et s'endort, bercée de douces illusions.

Le_g. a écrit:
Il se réveille et pose sa main sur... du vide. La place est froide, elle est partie. L'oiselle s'est envolée, comme lorsqu'elle est partie quand ils étaient à Auch. Liberté...

Liberté ? Il referme les yeux, se tourne vers le mur, et plonge dans ses pensées, il se morfond. Le Gaucher a tout donné pour le groupe. Seulement voilà, sa belle voulait voir autre chose.

Elle avait voulu partir, il l'avait accepté, pour une escapade en Béarn. Mieux, il l'avait soutenue, il avait des doutes à cette époque, mais voulait donner une chance. Il était pour, l'idée lui semblait bonne, et aujourd'hui, il en payait le prix fort. Tant pis, comme d'habitude, il assumerait, pour le groupe.

Un soupire, il est dépité. Elle avait pris les chose en main, décidant seule pour le groupe, il avait suivi, cherchant à comprendre. Et que ce passait-il ? Elle le faisait passer pour le con de service aux yeux de tous.

Oui, il avait un caractère fort, clairement. Mais le groupe passait avant tout, avant sa fierté personnelle. Il avait mis son mouchoir sur ses envies, et avait juste chercher à comprendre. Pour avoir posé des questions, vu que sa belle ne lui disait rien, restait secrète, il passait pour le phylécastrope qui veut pas, qui est contre tout. Personne ne souhaitait son avis. Il ne le donnerait pas, il ne l'avait pas donné, il se tairait donc.

Lui avait-on demandé son avis ? Non... Et pourtant c'est lui qui était en première ligne, à assumer les choix du groupe, ou plutôt, celui de La Colombe. Car à bien y réfléchir, le campement commun, qui en avait entendu parler à part elle ? Pour Saint-Bertrand, tout le monde n'était pas d'accord. La preuve que le groupe n'était pas prêt. Ils auraient du rester entre eux. Il était trop tôt.

Dépité, Déçu.

Il sort de la roulotte, la voit près de la roulotte de La Jolie, et poursuit sa route, direction celle de son frangin, il veut lui parler.

L'hédoniste s'était laissé prendre au piège de l'Amour, et là, il souffrait, comme un animal blessé, il en était à avoir envie d'aller se livrer pour qu'ils le tuent.

Andrea_ a écrit:
Elle avait appris a apprécier l'homme qui lui avait dit, alors La Colombe reprenait l'idée...

Neuf fois à terre, Dix fois debout.

Sauf qu'elle avait eu du mal à se relever... Elle n'avait rien dit quand il l'avait quasi ignorée, n'avait rien dit non plus quand il s'est muré dans le silence, rien dit encore lorsqu'il parler d'eux au passé. Rien. La Colombe s'était tu. A peine quelques mots.

Des pigeons échangés lors de la journée, plus ou moins taigneux, plus ou moins décevants, mais toujours plus distants.
Signé "le gaucher" et parlant de "la" colombe...
ça fesait pourtant de nombreuses semaines qu'ils s'étaient appropriés l'un l'autre... se faisant leurs...

MON brun, MON Lou'... du passé...

Comment ils en étaient arrivé là, à ne pas se comprendre, à ne plus communiquer, à s'ignorer ouvertement, et priant que l'un ne croise jamais le regard de l'autre.

Observer... Du coin de l'oeil pour lire dans ses yeux un semblant d'amour, y trouver un ptit quelque chose, une étincelle, une lueur, un.. un truc.

Ecouter... et rager de certaines paroles...

Jalouser... en silence

Pester... à ses " qu'est ce que ça peut te faire, maintenant ? "

Hurler, face à son indifférence

Espérer... qu'il réagisse, un cri, un geste, un truc...

Perdre son latin, son gout de vivre, de ne plus sentir ses bras autour d'elle.

Soupirer... de voir qu'il a préparé sa roulotte...


Puis... le " Truc" tant attendu...
Une lueur et l'espoir renaît...


La Colombe ne peut plus de cette taverne bondée, la vilaine, qui a déjà quasi viré une rousse trop plaintive, va se charger du blond trop silencieux...
Elle sature, elle le veut lui, lui seul, et pas le partager au milieu des gens... Il parle.. de nouveau il parle et la colombe boit ses paroles, elle ne voit que lui, n'entend que lui...

Enfin, un instant à eux, deux minutes, elle lui avait demandé deux minutes...
Pourtant presque deux heures après il y était encore...

Encore une fois, il n'avait pas fallu mille mots pour qu'ils se retrouvent...Pour une fois, la colombe avait la recette pour réussir. Elle tatonnait, voulait suivre les lignes mais...
Enfin, avec des mots,une pincée, un soupçon des caresses, quelques effleurements, des baisers et une pincée de soupirs... Ils avaient réussi...

La conclusion finale était navrante, et les deux s'y accordaient : " on est trop cons parfois".
Tout est dit non?


.....


Et bien NON! NON tout n'est pas dit...

Mais je pense... qu'on les laissera vous l'annoncer a un autre moment...

Sachez juste qu'ils ont trouvé la recette... de "comment s'aimer pour les nuls"

Et qu'à la fin... ils se relèvent... 'Fin.. ils se sont relevé..pour mieux se recoucher.. 'Fin heuuuu vous comprenez quoi ! j'vais pas vous faire un dessin !
Citation :

Il est de retour, et remet sa roulotte sur le même emplacement. Seul. Le regard vide, hagard, le cheveux en bataille, il ne semble pas au mieux de sa forme, pourtant il a le sourire aux lèvres.

Dételant son cheval, il le mène boire, puis revient vers le campement, et le laisse paître près de la roulotte. Hadès, son loup, veille pas loin, il le sent tout près. Il retourne dans sa maison, comme il l'a expliqué à Aelis, et sort un morceau de viande qui met entre la roulotte et les arbres qui servent de couvert à Hades.

Quelques branches sèches ramassées, le feu allumé, il se fait une tisane, songeur.

Le "Comment s'aimer pour les nuls" de sa belle avait été bien pratique sur ce coup-là, et les missives échangées avec sa petite soeur aussi. Il avait perdu quelque chose de vue : l'amitié, l'amour, la vie ! Pendant un moment, il avait cru que se sacrifier pour le groupe était nécessaire, en fait, il s'était trompé et ils avaient besoin les uns des autres. Tout était clair à présent, mais il avait donné sa parole à une petite piratesse, et ça, il ne la reprendrait pas !

Lui-même avait trop souffert du manque de paroles des grands à l'âge de la petiote. Il ne lui ferait pas la même chose. Il savait trop combien c'était important, lui, le gueux, le va-nu-pieds, qui respectait sa parole.

Après avoir bu sa tisane, il file se coucher, crevé par la route. La roulotte vide l'attend. Sa belle reviendra, mais pour le moment, il est seul, par principe. Oui, il est très con, pour ça, vous avez du remarquer l'enseigne de la taverne de sa belle non ? Très con mais il y tient à ses principes et refuse d'y déroger, de vendre son âme.

Bah oui, il est brigand et alors ? Il a pas le droit d'avoir une âme, des principes et tout et tout ? Il devrait se comporter comme un animal ? Bah raté hein ! Il est homme de principe, le jongleur de feu, le gaucher.



Cagou59 a écrit:
[rp]
                [RP] En direct de Saint-Liziers Bloupbf9



Par la présente, Nous, Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie, Coms d'Armanhac e Comenge,
À nostre peuple,
Aux Licérois,
Annonçons ce qui suit :


    Considérant que l'Armanhac e Comenge ont beau estre un petit Comtat, il ne puit en aucun cas se contenter d'une seule armée active pour assurer sa protection de manière efficace;

    Comme il est de notoriété publique qu'une armée puit aider à protéger les villes et estre présente pour les reprises si nécessaires;

    Prenons donc la décision d'autoriser la création de l'armée "Armée de Gabaret" commandée par Toto.dangely, sur Sent Lisèr.

    Cette armée sera financée par la Vescomtessa de Gabaret, Nael35, et demeurera sous autorité comtale, comme toute armée se le doit.

    Nul danger n'est à craindre, nulle menace ne pèse sur la Province et nulle volonté belliqueuse n'est à déceler dans cette décision. Cette force se veut principalement dissuasive et protectrice de la ville de Sent Lisèr en cas de danger de révolte.


Faict et scellé en le Castel d'Aush le Vingt-septième jour du mois d'Octobre de l'an de grasce 1459.

        [RP] En direct de Saint-Liziers Acommingesjaunetu0
[/rp]
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Le Gaucher




Messages : 29
Date d'inscription : 26/10/2011

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MessageSujet: Re: [RP] En direct de Saint-Liziers   [RP] En direct de Saint-Liziers Icon_minitimeSam 29 Oct - 14:05

Le_g. a écrit:
Ils s'étaient écrits, et il avait eu de mauvaises nouvelles, d'un côté comme de l'autre. Sa soeur de coeur en prison, son frère, le sans-nom-sait-où qui donnait pas de signe de vie, et sa femme qui avait des problèmes. Et au milieu de tout ça, il restait là, à s'occuper d'une petite à qui il a donné sa parole. Un poème à sa petite soeur, un autre à sa femme, et il va se coucher.

Citation :
Ma petite,

Tu es telle une soeur de coeur
nous nous ressemblons tant
Je suis pour toi un admirateur
Moi, qui suis ancien courtisan

Je te demande de m'offrir
S'il te plait, offre-moi une chance
ne te laisse pas anéantir
et accorde-moi un peu de confiance

Tu es, Ma Petite, telle une étoile
Comme un phare dans la tempête
Celle vers qui je tends ma toile
mes parchemins depuis perpète

Ne t'éteins pas, lutte pour moi
Laisse-moi te revoir et jouter
ne me laisse pas en désarroi
Viens me botter le cul, m'affronter

Je suis complètement perdu
Affolé de ne pouvoir te prendre
dans mes bras, te serrer, éperdu
ta mort me fait mal au ventre

Humblement je te le demande
Une dernière joute entre nous
Toi qui a lancé une guirlande
Je ne suis plus rien, à genou

Ma Petite soeur, Ma Petite
Ton Grand a découvert l'amour
Et besoin de connaître mes limites
Je suis et reste baladin, troubadour

Je te le redemande à genou
Offre-moi quelques jours
Pour toi, faire voler les verrous
et te présenter aux troubadours.


Il n'ose tout lui dire, à sa femme, tant elle lui manque, elle qui a sur les épaules la responsabilité qu'il vient de quitter. Pas si facile de devoir diriger. Il voudrait la décharger de ce poids, mais il a donné sa parole, et ils ont déjà échangé dans la journée. Il fait donc plus court, la rassurant sur ses sentiments pour elle.


Citation :
Mon amour,

Je sais combien
il est dur d'être loin
Je t'écris ce poème
pour te dire je t'aime

Quelques mots vites écrits
Ne voulant dire le dépit
des jours qui nous séparent
mon ennui qui se déclare

Je t'aime ma colombe
et sur mes épaules tombe
une chape de plomb
à cacher dans les buissons

Andréa, ma femme, mon amour tu est ma raison de vivre.
Andréa, ma flamme, mon horizon, loin de toi je ne fais que survivre.



Le_g. a écrit:
Seul en taverne, il tient sa promesse de se tenir à sa place. Il est parti donc, et soupire. Prenant un parchemin, il écrit à Aelis.
Citation :

Bonjour Aelis,

Je t'écris pour te dire que je vais bientôt partir.

Une dernière fois, je te le demande, respecte la parole que tu m'as donnée, de faire confiance à Thaïs. Elle t'aime, et je te demande d'être sage. Je reviendrais, je te l'ai promis, on le fera ce tour en roulotte !

Quoi qu'il en coûte, tu vois, on doit tenir ses promesses.

C'est aussi quelque chose que je voulais t'apprendre. Etre fidèle à son équipe, Piratesse, et la tienne, c'est ta mère qui te l'a offerte. Garde-la précieusement, ton équipe, Thaîs, Gaël, Ambre et les autres.

Tout le monde n'a pas ta chance d'avoir une famille. J'imagine que là, tu te dis : " mais tu dis tout le temps ça Gausser ! " Oui, je te le dis, je te l'écris même. Je sais de quoi je
parle, Piratesse. Rappelle-toi l'histoire que je t'ai contée hier, rappelle-toi que tu m'as donné ta parole. Tu es une grande fille maintenant, et tu assumes comme une grande.

Ecoute bien ta famille, ils sont là pour toi, et ils seront toujours là pour toi. Ony est partie, moi, je partirais, tout le monde part... Sauf ta famille. Thaïs, Gaël, Ambre, ils sont là, ils restent là, et ils resteront là, pour toi.

Tu dois leur dire la vérité, toujours, même si ça fait mal. Tu peux mentir aux autres équipes, ça, c'est pas trop trop grave. Pour savoir à qui tu as le droit de pas dire la vérité, tu demandes à Thaïs.

Un maire par exemple, dira à un voleur qu'il y a rien dans la caisse, même s'il y a des sous. Un voleur, il dira pas qu'il a volé, même s'il l'a fait.
Mais le maire dira la vérité au Comte, et le voleur aura son propre code d'honneur avec les siens.

Aelis, la vie est ainsi faite. Si Thaïs est d'accord, nous continuerons de nous écrire. Si elle ne veut pas... je ne t'écrirais plus.

Prends soin de toi, petite Piratesse.

Le Gaucher.


....||.||.||.....
||.||.||.||. //
||.||.||.||//
|............/
|.........../
..|......|¨

Il signe d'une main gauche dessinée, pour que la petite connaisse l'auteur, et la lui fait parvenir. Il s'étire, avant de se mettre à la rédaction d'une missive pour Sa Petite, ne pouvant rien faire, la sachant en prison, loin de lui. Il enrage, et tourne en rond, il va finir par perdre pied.
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